L’évêque Aringarosa, gravement blessé, ressent une douleur spirituelle plus intense que physique. Sous la pluie, Silas, couvert de sang, le transporte, désespéré et suppliant pour une aide médicale. Aringarosa, malgré ses souffrances, exprime son regret à Silas, se sentant responsable de leur tragédie. Il se remémore l’époque où il a débuté modestement en Espagne avec Silas et son succès ultérieur à New York avec l’Opus Dei.
Sa douleur actuelle découle d’une réunion désastreuse avec le Vatican. Lors de cette rencontre, le secrétaire général et deux cardinaux l’ont informé que l’Opus Dei allait être révoqué dans six mois. Aringarosa est choqué par cette décision, qui est motivée par le caractère trop conservateur de l’Opus Dei. Les méthodes de recrutement et de formation jugées rigides, ainsi que les critiques de la direction moderne de l’Église, avaient conduit à cette décision. Aringarosa se défend en soulignant la croissance et l’importance de l’Opus Dei dans l’Église catholique.
Après une dépression suite à cette annonce, Aringarosa reçoit un appel d’un mystérieux « Maître » français, promettant de l’aider à découvrir une relique sacrée qui pourrait inverser la décision du Vatican. Cette offre redonne espoir à l’évêque, qui accepte la proposition avec une nouvelle détermination.
À l’hôpital, Silas, épuisé, cherche de l’aide tandis qu’Aringarosa est jugé en mauvaise état. Silas, rempli de remords, promet de retrouver et de punir ceux qui les ont trompés. Aringarosa, cependant, lui recommande de chercher le pardon, soulignant la valeur de cette vertu. Dans ses derniers moments, l’évêque insiste sur l’importance de la prière et du pardon, même face à une trahison profonde.
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