À l’aéroport du Bourget, en pleine nuit, Fache bouscule le contrôleur aérien, exigeant des informations sur l’avion de Sir Leigh Teabing, parti sans déposer de plan de vol. Le contrôleur, d’abord hésitant, finit par céder face aux menaces d’arrestation de Fache. Il révèle que Teabing se rend régulièrement à Londres, à Biggin Hill, un petit aéroport du Kent.

Fache, pressé par le temps, ordonne immédiatement qu’un avion soit préparé pour se rendre à Londres. Il demande également à la police locale du Kent de surveiller et encercler l’avion de Teabing dès son atterrissage, interdisant à quiconque de quitter l’appareil avant son arrivée. Ce passage reflète la tension et l’urgence croissante alors que l’étau semble se resserrer autour de Teabing, soulignant les méthodes impitoyables de Fache.


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