Nous découvrons l’univers de sœur Sandrine Bieil, qui réside dans une ancienne sacristie de l’église Saint-Sulpice. Cette religieuse, chargée des tâches pratiques de l’église, mène une vie tranquille jusqu’à ce qu’une nuit, son téléphone la réveille. C’est le curé qui l’appelle pour lui demander de permettre à un important évêque américain, Manuel Aringarosa, de visiter l’église en pleine nuit. Bien que la visite nocturne ne soit pas idéale selon sœur Bieil, elle accepte, malgré son aversion pour l’Opus Dei et ses pratiques rigides. La mention de l’Opus Dei, avec ses controverses et ses rites sévères, accentue l’inconfort de sœur Bieil. À soixante-six ans, elle se laisse envahir par un pressentiment inquiétant alors que l’église semble étrangement silencieuse.


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