Sophie découvre une révélation majeure : le Saint-Graal, traditionnellement perçu comme une coupe, est en réalité une femme. Langdon explique que le calice est une métaphore de l’utérus, représentant le féminin sacré, un symbole de fertilité et de vie. Teabing et Langdon révèlent que ce symbole a été réprimé par l’Église, qui voyait dans le pouvoir procréateur féminin une menace. Selon eux, la quête du Graal incarne la recherche de ce féminin sacré perdu, une divinité autrefois vénérée dans les religions païennes. Ils insistent sur le fait que le Graal est non seulement une femme, mais une figure historique d’une grande importance, détenant un secret capable d’ébranler les fondements du christianisme. L’échange entre les personnages souligne la manipulation du rôle des femmes dans l’histoire et la religion.


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