Robert Langdon et Sophie Neveu, échappant à l’obscurité des sous-sols du Louvre, tentent de déchiffrer le message mystérieux laissé par le grand-père de Sophie, Jacques Saunière. Langdon, en proie à une anxiété croissante, est accusé à tort de meurtre par le chef de la PJ, Fache. Tandis qu’ils se dirigent vers une issue de secours, Sophie révèle que le message crypté contient des références à Leonardo Da Vinci et à la séquence de Fibonacci. Langdon réfléchit intensément à la manière dont ces indices pourraient être décodés.
Sophie explique que son grand-père avait un lien profond avec le pentacle, une forme symbolique importante pour elle, notamment à cause de leurs jeux d’enfance liés au tarot. Langdon se remémore alors ses cours sur le nombre PHI, ou la Divine Proportion, expliquant son importance dans l’art et la nature. Il se souvient de comment PHI se manifeste dans diverses œuvres artistiques et structures naturelles, soulignant l’importance de cette proportion sacrée.
En haut de l’escalier, Langdon se rend compte que le message de Saunière est une anagramme. Sophie, d’abord sceptique, comprend rapidement que les lettres du message peuvent être réarrangées pour révéler un indice crucial. Langdon réorganise les lettres et découvre que « O Draconian devil! Oh, lame saint! » se transforme en « Leonardo Da Vinci! The Mona Lisa! »
Cette révélation offre une nouvelle direction dans leur enquête, suggérant que le célèbre tableau de Da Vinci, La Joconde, pourrait détenir la clé pour résoudre le mystère entourant Saunière. Langdon et Sophie, éclairés par cette découverte, se préparent à explorer cette piste décisive.
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