Bézu Fache, épuisé par une journée de travail, s’interroge sur Sir Leigh Teabing et son comportement excentrique. Teabing, accusé d’innocence tout en manipulant le Vatican et l’Opus Dei, semble orchestrer une comédie pour éviter la prison. Fache reconnaît l’ingéniosité de l’historien britannique dans ses manœuvres et les dispositifs sophistiqués qu’il a mis en place, notamment des micros cachés et des manipulations artistiques.

Pendant ce temps, l’évêque Aringarosa, hospitalisé, réfléchit à ses erreurs et à la mort de Silas, qu’il regrette amèrement. En proie à la honte et à la désillusion, il envisage de se rendre à Londres pour tout avouer. Le chapitre se termine avec Fache en visite à Aringarosa, discutant des conséquences de ses actes et de l’incertitude qui plane sur leur avenir respectif, tout en soulignant le contraste entre la foi de l’évêque et les doutes du commissaire.


Laisser un commentaire