Dix-sept heures sonnent le top départ de la congestion automobile. Certains le prennent plutôt bien en s’égosillant les cordes vocales sur le dernier tube à la mode tandis que d’autres ont la mine renfrognée dans les épaules tels de frileux pigeons encagés. À force d’emprunter ce boulevard, chaque jour à la même heure, il m’arrive …
