À mort les cocktails glacés, la piscine à débordement et les corps légèrement halés À bas la fine brise qui s'entremêle aux trente degrés et la caresse subtile d'un été Que l'on interdise le port du sourire en bordure de terrasse, les filles qui passent et les garçons pareils Au diable les plaisirs ensoleillés de ces décolletés plongeant dans les vagues Que cette fin de mois d’août déguerpisse et que vienne le frisson de l'été prochain.
Poème écrit quelque-part, un 25 août 2017.
Le frisson, le frisson… pourquoi tu as l’intention d’aller boire un cocktail sur la banquise ? 😉
Bon week end !
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Bonjour Dominique,
Boire un cocktail sur la banquise ? En voilà une idée ! Quand nous grillerons toutes et tous comme des sardines au romarin en plein été 2050… Nous fantasmerons sur un mojito au Groenland !
Excellent week-end,
Johan
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Bon jour,
Je retiens : » … Que l’on interdise le port du sourire … » pour un texte de 2017 c’est presque prémonitoire … quand l’on voit actuellement que le masque … sans le sourire …
Max-Louis
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Bonjour Max-Louis,
Tu as l’œil, je n’avais même pas fait attention à cette phrase ! Quelle coïncidence !
Il y a tant à dire sur notre époque ultra-hygiénique, et pourtant ce me met du baume au cœur est encore une des choses les plus simples qu’il soit: Un sourire (même édenté).
Bon week-end.
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Bon week-end également 🙂
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alors je te souris avec les yeux …
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Magnifique et tout à fait d’actualité !
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Le masque n’enlève pas le sourire, mais peut cacher les grimaces qu’on a souvent envie de faire
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